La deuxième chaîne de cinéma du pays, AMC, fait un peu mieux, mais seulement parce que ses portions sont plus petites. Son pop-corn grand modèle affiche tout de même 1.030 calories et 57 grammes de graisses saturées, ce qui revient à manger 500 grammes de côtes de porc plus une une boule de glace!
Les taux de graisses saturées, qui favorisent les maladies
cardio-vasculaires, sont imputables à l'huile utilisée pour préparer le
pop-corn,
principalement de l'huile de coco...
Les sodas distribués dans les cinémas sont également montrés du doigt par l'étude. Chez Regal, le plus petit modèle de soda non allégé affiche 300 calories et le plus grand -- plus d'un litre et demi -- l'équivalent de 33 cuillerées à café de sucre, soit 500 calories!
Les friandises, malgré leur petit conditionnement, ne sont guère plus saines... Un sachet de 225 grammes de petits pastilles au chocolat multicolores contient 1.160 calories et 35 grammes de graisses saturées. Ce qui revient à manger un steak de 500 grammes et des pommes de terre au four... couvertes de beurre.
Alors, merci qui?
merci l'ALHAMBRA!
158 longs métrages ont été produits cette année sur le territoire, contre 176 en 2008 et 181 en 2007. Le format 35 mm reste majoritaire devant le numérique.
La production cinématographique française a connu en 2009 une baisse de 10% par rapport à 2008, tandis qu'investissements et durée des tournages ont aussi reculé, selon des estimations de la Fédération des industries du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia publiées ce mardi.
Quelque 158 longs métrages ont été produits en 2009 contre 176 en 2008 et 181 en 2007, dont 137 fictions, 15 documentaires et 6 films d'animation, détaille l'observatoire de la Ficam, qui recense les films à production majoritairement française.
Les investissements en longs métrages seraient en recul de 294 millions d'euros (-25%), s'établissant à 905 millions d'euros. Le nombre de semaines de tournage a baissé de 15%, ce qui s'explique par «la baisse du nombre de films mais aussi par une réduction de la durée des tournages due aux contractions budgétaires».
La baisse de la durée des tournages, traditionnellement observée aux troisième et quatrième trimestres, est «particulièrement forte» en 2009: 119 semaines, contre 275 en 2008.
Par ailleurs, le support de tournage 35 mm, qui «reste le format majoritaire malgré l'accélération du numérique», a néanmoins baissé: 62% des projets sont tournés sur ce support, contre 69% en 2008.
(Source AFP)
pour savoir ce que les lecteurs de Libé pensent de cette info, c'est ici...
BOBINE CITOYENNE dimanche 13 décembre à 16h30
A travers l’histoire de Walter, ancien résistant, ancien déporté haut-savoyard et sur fond de politique actuelle, deux questions se posent tout au long du film :
« Qu’avons-nous fait des idéaux du Conseil National de la Résistance ? »
« Résister se conjugue-t-il au présent ? »
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Réalisé par Gilles Perret
Qu'avons-nous fait des acquis du Conseil National de Résistance ? La sécu, les retraites par répartition, la nationalisation des besoins vitaux de l'économie, la séparation de la presse des pouvoirs d'argent... C'est ce que le programme du CNR prônait dès 1943 et mettait en place dès 1945, pour être aujourd'hui mis à mal par notre gouvernement. Walter Bassan et ses camarades John Berger, Stéphane Hessel, Constant Paisant sont là pour faire front et dire NON à la casse systématique des services publics et des valeurs du CNR. N'en déplaise à Bernard Accoyer, pris en flag de langue de bois, qui tentera par tous les moyens de sauver sa crédibilité. Walter est aussi un sacré bonhomme qui nous rappelle que la résistance se
pratique au quotidien, et ne manque pas de générosité pour nous transmettre
son engagement..
Le film sera suivi d'une rencontre avec Gilles Perret. |
À PROPOS DE QU'UN SEUL TIENNE ET LES AUTRES SUIVRONT
PREMIER FILM ÉPOUSTOUFLANT DE LÉA FEHNER
«Nous manquions d'argent, donc de temps, mais penser que nous dépensions 1,4 million d'euros pour un film avait quelque chose de profondément indécent.»
Aujourd'hui, à la veille de la sortie de ce qui s'impose comme un des premiers films les plus impressionnants de ces dernières années, Léa Fehner ne cesse d'y penser, et use du mot vanité pour décrire ce qu'elle ressent : «Quatre années de notre vie pour deux heures de la vie des gens... Mais la semaine dernière, lors d'une avant-première à Marseille, pour la première fois je me suis dit que j'avais de la chance d'avoir fait ce film et de pouvoir le montrer.»
l'article en entier sur
1. voxpopuli le 06-12-2009 à 06:17:35
elle a plutôt l'air de se complaire dans son "indécente vanité" (ou sa vaniteuse indécence?)...
Vous l'attendiez avec impatience, si si, ne dites pas le contraire!
Votre carte d'adhérent pour l'année 2010 est disponible à la caisse du cinéma (pour les personnes à jour de leur adhésion).
Pour les autres, il n'est pas trop tard pour (ré)adhérer: des bulletins d'adhésion sont à votre disposition dans votre cinéma préféré... Ne laissez pas tomber votre cinéma, rejoignez-nous!
Et voilà la composition du Conseil d'Administration des Amis de l'Alhambra pour cette année 2010:
Caroline Bayet, Jean-Christophe Blanquart, Marie Blin, Christian Bown, Charles Frammezelle, Sylvie Ranson, Monique Wilczewski.
Olivier Marichez, président, n'est pas candidat à sa succession.
vendredi 04.12.2009, 05:02 - La Voix du Nord
Les Amis de l'Alhambra ont tenu leur assemblée générale, samedi soir, dans une salle de leur cinéma préféré. ...
La réunion a été marquée par l'arrivée de sang neuf dans le conseil d'administration, qui désignera prochainement ses principaux représentants. Rencontre avec Olivier Marichez, ex-président de l'association.
Vous n'étiez pas candidat à votre propre succession. Pourquoi ?
« Je suis originaire de Lille et j'ai saisi l'opportunité professionnelle de me rapprocher de mes racines. Mon départ de la présidence des Amis de l'Alhambra s'inscrit dans la logique de mon départ de Calais. »
Quelles sont les priorités de l'association ?
« Il y en a trois : promouvoir le cinéma en général auprès de différents publics, créer un lieu convivial qui ne se limite pas à la seule projection de films, défendre l'Alhambra pour qu'il dure encore longtemps. C'est l'intérêt des contes, des débats et autres animations qui accompagnent certaines séances, sans parler de la distribution de la gazette. »
Que retenez-vous de l'intervention d'Antoine Deguines, adjoint à la culture ?
« La mairie va aider l'Alhambra à faire face à sa dette, par le biais d'une subvention reconductible dont le montant va dépendre d'un accord en cours de discussion avec le plus important des créanciers. Je retiens aussi que le statut de l'Alhambra va rester inchangé, avec une confiance réaffirmée dans le travail d'Arnaud Clappier, et sans ingérence de la Ville dans la programmation. »
Le gérant, Arnaud Clappier, s'est aussi adressé aux adhérents. Un commentaire ?
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes. L'Alhambra enregistre en moyenne soixante-cinq mille entrées par an, sur la base de ces trois dernières années, et en dépit d'un exercice 2008 plutôt mauvais. Il ne manque pas grand chose pour atteindre un équilibre théorique situé aux environs de quatre-vingts mille entrées par an. Les Amis de l'Alhambra doivent continuer à se mobiliser. »
Les Amis de l'Alhambra s'affichent sur Internet:
http://leblogdesamis.vefblog.net.
Retour sur la soirée à l'Alhambra en présence de Valentin...
Extrait du Nord Littoral du mercredi 2 décembre 2009.
Un film sensible, doux et fort à la fois, qui est irrigué de questions
et de réflexion, de tâtonnements et de prises de décisions.
Cela faisait déjà deux années que Valentin était engagé auprès des migrants. « Il retrace la construction de l'engagement et comment on vient à s'engager. Des questions sont posées, sur la jeunesse, sur les migrants, sur l'engagement. C'est un regard intérieur, on rentre dans ma peau » explique le jeune homme.
Le film essaie de toucher les
gens, de montrer que les migrants sont des gens comme les autres avec
leurs bonheurs, malheurs, leurs histoires.
Donner à voir ce qui se passe à Calais par les yeux d'un jeune sur son territoire et sur sa ville.
........... pour lire la suite sur NORD LITTORAL ...........
Commentaires
1. spino-for-ever le 10-12-2009 à 09:18:02 (site)
complément d'information :
Et d'une, aujourd'hui, dans les "vrais" cinémas, du genre hangars à blockbusters, on se fait infiniment plus de fric avec les friandises (boissons, bonbons) qu'avec le ticket d'entrée - qui n'est plus qu'un simple "produit d'appel" (les marges sont sans commune mesure). Et c'est encore plus vrai depuis une dizaine d'années et la mise en place des cartes illimitées (sur lesquelles, vu l'opacité du système, certains groupes sont prêts à travailler à perte, pourvu qu'ils se gavent sur le popcorn - d'ailleurs, vous avez déjà essayé de rentrer au Gaumont en portant ostensiblement votre propre sachet de confiseries ?).
Et de deux, sur chaque ticket de cinéma, une toute petite taxe est prélevée, qui permet via un fonds propre à l'industrie du cinéma, de mutualiser un certain nombre de dépenses (aide à la réalisation de films pour les producteurs, tirage de copies pour les distributeurs, rénovation et création de salles pour les exploitants…). Évidemment, les recettes dites "annexes", issues à 99% de la vente de ces cochonneries, ne participent pas à l'effort général.
Et de trois, les Gros Exploitants peuvent afficher à peu de frais une solidarité avec les cinoches en difficulté - par exemple en acceptant d'éteindre leurs enseignes pendant 1 heure…
Conclusion : ça s'appelle, je crois, du foutage de gueule grand format. Mais que la majorité des "petits" accueillent avec reconnaissance.
Conclusion bis : pour votre santé et celle des cinémas… boycottez le maïs soufflé qui pue et rend obèse !