À PROPOS DE QU'UN SEUL TIENNE ET LES AUTRES SUIVRONT
PREMIER FILM ÉPOUSTOUFLANT DE LÉA FEHNER
«Nous manquions d'argent, donc de temps, mais penser que nous dépensions 1,4 million d'euros pour un film avait quelque chose de profondément indécent.»
Aujourd'hui, à la veille de la sortie de ce qui s'impose comme un des premiers films les plus impressionnants de ces dernières années, Léa Fehner ne cesse d'y penser, et use du mot vanité pour décrire ce qu'elle ressent : «Quatre années de notre vie pour deux heures de la vie des gens... Mais la semaine dernière, lors d'une avant-première à Marseille, pour la première fois je me suis dit que j'avais de la chance d'avoir fait ce film et de pouvoir le montrer.»
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http://artsetspectacles.nouvelobs.com/p2352/a414236.html
Commentaires
elle a plutôt l'air de se complaire dans son "indécente vanité" (ou sa vaniteuse indécence?)...