réunion mensuelle des Amis de l'Alhambra
ce jeudi 9 juillet -19h30 au ciné
Adhérents ou pas, si vous aimez votre cinéma, venez nombreux!
Diffusion des films: un accord "pas à la hauteur des enjeux", selon la SACD
AFP | 06-07-09
La Fédération nationale des cinémas français (FNCF) a signé lundi un accord professionnel qui réduit à quatre mois après leur sortie en salles le délai de diffusion des oeuvres en vidéo à la demande et en DVD, après s'être vu promettre des "mesures de rééquilibrage", dit-elle. "Cette signature a été rendue possible par la garantie donnée par Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et Véronique Cayla, directrice générale du Centre national de la cinématographie (CNC) pour que soient étudiées des mesures de rééquilibrage économique en faveur du secteur de l'exploitation", précise la FNCF. Celles-ci devront "garantir la pérennité du premier des modes de diffusion du film, et assurer un partage équitable des efforts consentis", estime-t-elle. La fédération "se félicite que les pistes évoquées puissent conduire à des mesures liées au prix d'achat des films, des mesures liées au soutien à l'exploitation, et des mesures fiscales susceptibles de bénéficier à l'ensemble de la filière". La FNCF juge en effet qu'aux termes de cet accord, "les salles de cinémas sont les seules, parmi tous les diffuseurs, à voir réduire leur durée d'exclusivité" - d'un tiers de sa durée. Parmi la vingtaine de signataires de ce texte figurent des distributeurs (FNDF, DIRE, SDI), réalisateurs (SRF) et producteurs (API, APC, UPF) de cinéma, les chaînes de TV France Télévisions, TF1, Arte, Canal+ et M6 ainsi que le syndicat des éditeurs de VoD et les groupes Orange et SFR. "Conclu pour une durée de deux ans tacitement reconductible par périodes d'un an", cet accord réaménage la "chronologie des médias" qui organise la diffusion des oeuvres sur différents supports et à la télévision, a dit le ministère de la Culture.
Accord in extremis des professionnels du cinéma sur la diffusion des films Pressés par le ministère de la Culture d'améliorer l'offre légale de films sur internet, les professionnels du cinéma ont signé lundi un texte qui réduit à quatre mois après leur sortie en salles, le délai de diffusion des oeuvres en vidéo à la demande (VoD) et en DVD. Cet aménagement de la "chronologie des médias" qui organise la diffusion des oeuvres sur différents supports et à la télévision, est la contrepartie du volet répressif du projet de loi "Hadopi" contre le piratage sur internet, examiné à partir de mercredi au Sénat.Le calendrier était serré. Faute d'accord, le gouvernement aurait procédé par décret, avait averti le ministère. Pour entrer en vigueur, ce texte doit faire l'objet d'un "arrêté d’extension" que prendra le ministère de la Culture d'ici le 12 juillet.Malgré les réticences exprimées ici ou là ces derniers jours, un accord a été trouvé entre une vingtaine de signataires : organisations professionnelles du cinéma - exploitants, distributeurs, réalisateurs et producteurs -, chaînes de TV - France Télévisions, TF1, Arte, Canal +, M6 - et les diffuseurs de films en VoD, éditeurs, Orange, SFR.Aux termes de cet accord conclu pour "deux ans tacitement reconductibles par périodes d'un an", les films seront disponibles en VoD "payante à l'acte" et en DVD quatre mois après leur sortie en salles, contre six à sept mois et demi au minimum jusque là.Ce délai pourra être ramené à trois mois, dans des conditions assez strictes puisque seuls les films "ayant réalisé moins de 200 entrées au cours de leur 4e semaine d'exploitation en salles" pourront bénéficier de cette "dérogation".Selon le CNC, près de 25% des films seraient concernés.Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand s'est félicité de cette signature qui a rassemblé un nombre inédit de partenaires. Après des semaines de statu quo, elle a été négociée en un temps record, ces derniers jours, par la directrice générale du Centre national de la cinématographie Véronique Cayla.Toutefois, la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), la Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs (ARP) et la Fédération Française des Télécoms ont stigmatisé le manque d'ambition d'un texte qu'ils n'ont pas signé.Le SEVN qui représente les éditeurs DVD, s'est abstenu lui aussi malgré les "réelles avancées" de l'accord, a-t-il dit à l'AFP, jugeant trop restrictives les règles instaurées sur la publicité pour les sorties de films en DVD.Ce texte instaure des délais d'exploitation plus courts sur d'autres supports.Ainsi les services de télévision payants (Canal+, Orange) pourront-ils désormais montrer les films en première diffusion 10 à 12 mois après leur sortie en salles, contre 12 mois minimum aujourd'hui, puis 22 à 24 mois en 2e diffusion (24 mois à l'heure actuelle).Les chaînes de télévision en clair, elles, pourront les programmer 22 mois (contre 24 mois) après leur sortie en salles lorsqu'elles co-productrices et 30 mois dans le cas contraire (contre 36 mois).Avec un délai de 36 mois à compter de la sortie des films en salles, la VoD par abonnement se situe vers la fin de la chaîne d'exploitation des oeuvres.Seule la VoD gratuite, interdite avant 48 mois à "l'exception d'opérations promotionnelles" exceptionnelles, lui est postérieure. Un précédent accord professionnel en vigueur de 2005 à 2006, la proscrivait.
Au cinéma, mai 68 dura treize ans, ouvrant jusqu'en 1981 une page essentielle de l'histoire du cinéma français injustement ensevelie sous l'étiquette de « cinéma militant ».
Historiquement en effet, ce cinéma reste parlant, témoignant d'une France enragée continuant de croire au changement, de l'épopée des Lip à la résistance du Larzac, des grèves en usines aux églises occupées. Cinématographiquement, il révèle plus encore, ni plus ni moins que l'existence d'un chaînon manquant entre le cinéma direct des années 60 et le documentaire d'auteur des années 80.
Au cœur de ces années 70 figure le collectif Cinélutte, symbolisant à lui seul tous les enjeux de la période, mêlant cinéma et politique, lutte des formes et formes de lutte, offrant quelques uns de ses plus beaux films à l'hypothèse d'un cinéma partisan.
Triptyque composé de :
samedi 04.07.2009, 14:00
Le devenir de l'Ahlambra se dessine doucement. Hier, Arnaud Clappier, propriétaire du cinéma de centre ville, a rencontré la ville de Calais, Antoine Deguines en l'occurrence.
Une entrevue qui n'a pas permis d'avancer outre mesure sur le dossier, mais davantage de « préciser des choses ».
Même si elles le font trop lentement à notre goût, les choses avancent tout de même.
Comme
elle le fait depuis 6 mois, la Municipalité calaisienne a affirmé , réaffirmé, confirmé, hier après midi
, son soutien à l’Alhambra.
Les « Amis »
attendent donc avec impatience que cet
engagement s’officialise et se concrétise.
L’enjeu est d’autant plus fort que le 30 juillet prochain (date de fin de période d’observation inscrite dans la procédure de redressement judiciaire de notre cinéma) le juge du tribunal de Boulogne attendra des propositions claires quant à la situation financière du cinéma.
Nous sommes
confiants mais impatients….
Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire :
faire exploser le compteur des entrées tout au long du mois du juillet et
continuer d’apporter votre soutien à l’équipe de l’Alhambra par tous les moyens
que vous saurez trouver.
Nous comptons sur vous, ne lâchez rien !!
Les Amis
1. wilmo le 04-07-2009 à 09:25:03
donc si je comprends bien, ya rien de nouveau???
pffff, quel titre...
LES VACANCES DE MONSIEUR
HULOT
aux festivals de La Rochelle et de Bologne
29 juin
2009
La version restaurée du film de Jacques Tati entame
son tour du monde des festivals. Le film a été présenté le 27
juin lors d‘une soirée exceptionnelle au 37è Festival du Film
International de La Rochelle.
Un concert gratuit et en plein air a suivi
la projection sur le port de La Rochelle. Le Tati Concert a été organisé et
financé par les Fondations Groupama Gan et Thomson, le Festival du Film et les
Francofolies. Sur des images remixées des « Vacances de Monsieur Hulot »,
Matthieu Chedid et le Sacre du Tympan ont interprété des musiques des films de
Jacques Tati devant plus de 7000 spectateurs.
Le 1er
juillet, le film sera projeté à Bologne, dans le cadre du Festival Il
Cinema Ritrovato qui réunit les plus importantes restaurations mondiales de
l‘année. La projection aura lieu sur la Piazza Maggiore en plein air devant
plusieurs milliers de personnes.
"Une fois la restauration terminée,
il était important de faire descendre ce film dans la rue et de le partager avec
le plus grand nombre de spectateurs", déclarent Séverine Wemaere de la
Fondation Thomson et Gilles Duval de la Fondation Groupama Gan.
La
restauration des « Vacances de Monsieur Hulot », intégralement financée par la
Fondation Groupama Gan et la Fondation Thomson, a été réalisée au laboratoire
Technicolor (Thomson) de Los Angeles, avec les Films de Mon Oncle (ayants-droit)
et le soutien de la Cinémathèque
française.
Contacts
Gilles Duval - Fondation Groupama
Gan : 06.75.25.44.59
Séverine Wemaere - Fondation Thomson :
06.07.33.31.25
2. copinedepointure le 02-07-2009 à 06:41:51
SUR QUE CA PASSERA. UN PEU DE PATIENCE.....
3. spino-for-ever le 05-07-2009 à 10:17:23
ça vient, ça vient !
« A l'origine, ce devait être une parodie de série policière, nous en avons fait un thriller pour enfants » résume Guillaume Vasseur, instituteur des CM2 de l'école Greuze, lesquels ont réalisé un film d'animation, Echec et Mat.
Première projection, vendredi dernier à l'Alhambra avec la présence des parents d'élèves. Une initiative qui s'inscrit dans le cadre du programme du Clea Calais (lire ci-contre). Le film en question dure 2'45''. Un temps durant lequel trois enfants se font prisonniers d'un thriller. Lequel finira par tomber dans le propre piège qu'il a tendu au trio de garçons. Au final, le méchant est puni et tout fini par rentrer dans l'ordre.
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