posté le 01/01/09

NOTRE CINEMA EN 2009

Les Amis de l’Alhambra vous souhaitent une très belle année 2009 !!

 

Le Channel a écrit dans son dernier « sillage » :

« pendant cette période un peu bizarre où pour des raisons budgétaires nous avons ralenti l’activité, nous espérons que vous aurez su profiter de la programmation passionnante de ce cinéma indispensable qu’est l’Alhambra. Sa disparition serait une défaite pour tous ceux qui rêvent d’une ville toujours plus vivante ».

 

Nous sommes bien sur d’accord avec ce discours.

En trois ans, l’Alhambra est devenu indispensable à nos vies et à notre ville.

Nous ne concevons en revanche aucune forme de défaite.

Nous sommes convaincus que l’année 2009 permettra au cinéma d’accueillir un nombre toujours croissant de spectateurs ; que vous serez nombreux à promouvoir sa programmation ; à participer aux soirées et aux événements organisés par l’équipe qui l’anime et par son association de spectateurs…. ( au fait, n’oubliez pas d’adhérer à l’asso….)

Les calaisiens sauront être les meilleurs ambassadeurs d’un lieu qui fait de chacun d’entre nous, un spectateur privilégié, comblé, passionné, heureux de profiter pleinement d’un lieu de culture différent, unique, intelligent, chaleureux et profondément humain.

 

Nul ne doute, que s’il fallait un jour le défendre, nous serions très très nombreux à nous mobiliser….

 

Plein de bonheur à tous !!!

Les Amis

 

 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. spino-for-ever  le 03-01-2009 à 09:47:11  (site)

hep !

bonne année à tou(te)s !

même maladroitement, ne jamais perdre une occasion d'inciter son prochain à venir à l'Alhambra, c'est vital !

que le Channel et l'Alhambra se serrent les coudes en ces temps incertains est plutôt de bon augure !

(mais j'ai pas lu le Nord Litt' en question)

S.

édité le 03-01-2009 à 10:47:50

 
 
 
posté le 28/12/08

rien que pour les enfants

Mammy, maman, Papy, tonton, voisine, papa, tata, voisin.... profitez de cette dernière semaine de vacances pour emmener les petits, et les moins petits à l'Alhambra...Parce qu'il est important de faire de nos enfants de futurs spectateurs intelligents, critiques, ouverts, passionnés........

 

 

A partir de 2/3 ans:


Les nouvelles aventures de la petite taupe(45mn)
du 24 décembre au 13 janvier

Programme de dessins animés
de Zdenek MILER



Ça va être la joie, la fête chez les plus minots de nos spectateurs: c'est le grand retour de la Petite Taupe, découverte chez nous l'an dernier avec un premier programme qui avait fait un tabac. La voici dans cinq nouvelles aventures, qui débordent de fantaisie, de joie de vivre et de partager, et de soif d'apprendre.

Au programme:

La Petite taupe et le hérisson (1970 10 mn)

La petite taupe travaille dur, elle creuse une tranchée et déplace de lourdes pierres pendant que le hérisson la nargue en se dorant au soleil. Elle aurait pourtant bien besoin de son aide mais n'ose pas le déranger maintenant qu'il dort... Elle aurait peut-être dû le réveiller car le hérisson va connaître une étrange mésaventure...

La Petite taupe et le téléphone (1974 6 mn)

La petite taupe entend un bruit qu'elle ne connaît pas: la sonnerie d'un téléphone! Elle croit d'abord que c'est un appareil de gymnastique et puis, comme il se met à aboyer, miauler et même pleurer... elle va le cajoler.

La Petite taupe et les allumettes (1974 6 mn)

C'est l'automne et les châtaignes tombent des arbres. La petite taupe remarque alors une boîte d'allumettes cachée sous un tapis de feuilles jaunies. Mais à quoi peut donc servir cette boîte remplie de petits bâtons avec du rouge au bout? La petite taupe va trouver plein de réponses à cette question...

La Petite taupe et l'automobile (1963 16 mn)

La Petite taupe va à la grande ville et se retrouve au milieu de centaines d'automobiles. Il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Malgré le vacarme, elle est fascinée par les essuie-glaces, le klaxon, l'autoradio et le siègle inclinable. Elle aimerait tant avoir sa propre auto!

La Petite taupe et la musique (1974 6 mn)

La petite taupe se repose en écoutant son disque préféré, tandis que dehors le vent souffle très fort. Si fort qu'il s'engouffre dans la maison et brise le disque! La petite souris, pour consoler son amie, lui appporte des objets ronds qui pourraient faire office de disque. Mais rien n'y fait, et la petite taupe reste triste. Jusqu'au moment où une note de musique tombe de l'arbre...

 


Le Bal des lucioles (0h42)
jusqu'au 30 décembre


film d'animation Lettonie 2008 45mn



Quatre petits films épatants mijotés par les désormais fameux studios d'animation lettons, ceux-là même qui nous avaient donné
Munk et Lemmy ou Des animaux fous, fous, fous. De l'animation de marionnettes à l'ancienne, entièrement réalisée à la main, sans recours à l'ordinateur, fruits d'un savoir faire amoureusement cultivé depuis une cinquantaire d'années.Les Petits écoliers (13mn) : c'est la rentrée scolaire à l'école des insectes. Trois élèves échappent à la surveillance de la maîtresse fourmi et partent à l'aventure…Le Bal des lucioles (12mn) : Otis a quelques problèmes avec sa loupiote. Et comme il veut absolument inviter une jolie luciole au bal de l'été qui se prépare dans la forêt, il doit absolument trouver une solution à son défaut d'éclairage...La Nouvelle espèce (10mn) : une famille de papillons s'en va faire un pique-nique en forêt... et a le malheur de croiser la route d'un chasseur... de papillons justement. Danger !Le Magicien (8mn) : Loudini le magicien vient faire son speclacle dans la forêt. Il a plus d'un tour dans son chapeau, dont certains de cochon...



A partir de 5/7 ans:


Mia et le Migou
(1h35)
au moins jusqu'au 20 janvier...
Dessin animé réalisé par Jacques-Rémy GIRERD

France 2008 1h31

Avec les voix de Yolande Moreau, Pierre Richard, Miou-Miou, Jean-Pierre Coffe, Dany Boon…

Scénario de Jacques-Rémy Girerd, Antoine Lanciaux, Iouri Tcherenkov et Benoît Chieux.
.
Chansons d’Olivia Ruiz et de Michaël Furnon (ex chanteur de Mickey 3D).

Mia et le Migou … Il est chouette ce titre, à la fois doudou et intrigant… Ça sonne bien, ça donne envie. Et quand on sait que le réalisateur n’est autre que Jacques-Remy Girerd, celui-là même qui nous avait offert La Prophétie des grenouilles, cette géniale version, drôle et chantante et poétique, de l’Arche de Noé, on se précipite pour voir Mia… et on n’est pas déçu ! C’est formidable, c’est beau, c’est intelligemment écolo, ce sera NOTRE film jeune public de cette fin d’année, on compte sur vous pour lui faire un triomphe, comme vous l’avez si bien fait l’an dernier avec Les Trois Brigands (mais celui-ci est pour les enfants un peu plus grands).

Mia, c’est une gamine d’à peine dix ans qui vit seule dans un petit village quelque part en Amérique du Sud… Son papa est parti loin, très loin, pour travailler sur un gigantesque chantier au cœur de la forêt vierge, enfin plus pour très longtemps. Un promoteur immobilier aux dents longues comme ça (et même plus encore) a en effet décidé de construire une luxueuse résidence hôtelière au milieu de la jungle. Et le projet n’est pas du genre petite ferme écolo au milieu de la nature, avec commerce équitable, panneaux solaires et préservation des espèces en voie de disparition… Ici, on mise plutôt sur une clientèle de luxe, genre 4x4, casinos, chambres climatisées, accès par une autoroute et jet ski à essence sur le magnifique lac que borde la forêt.

Un soir donc, alertée par un pressentiment, Mia décide de prendre la route pour retrouver son papa… Quelque chose lui dit qu’il y a danger.
Au même moment en effet, sur le chantier, il se passe de drôles de choses : les grues se tordent comme de la guimauve, les tunnels s’effondrent et les ouvriers découvrent horrifiés d’énormes traces de pas, genre Yéti mais sans la neige... C’est sûr, le lieu est maudit, hanté, peuplé de créatures énigmatiques et d’êtres mystérieux…

Mia, elle, ne sait encore rien de tout cela et continue son chemin en direction de cette lointaine montagne qui surplombe la forêt où travaille son papa. Pendant ce temps, le promoteur zinzin, adepte des armes à feu, veut remettre un peu d’ordre sur son chantier qui part en cacahuète et doit composer avec une équipe d’ouvriers râleurs demandant de meilleures conditions de travail, avec des investisseurs frileux qui tardent à signer les contrats et avec un fiston rêveur qu’il ne sait comment aimer et qui le suit à conre-cœur dans cette sale affaire.

Et alors, le Migou, il est où ?... Ça, je vous le dirai pas, parce qu’il est partout et nulle part à la fois, il est un et plusieurs, petit et grand, visible et puis plus là… Bref, Mia va forcément croiser sa route et celle du promoteur et de son fiston quelque part au milieu de cette jungle et de ce lac bientôt pollué par les jet-skis des millionnaires, là où trône un arbre millénaire qui pourrait bien nous dire des choses sur l’état de la planète.

 

 


Madagascar 2(1h35)
à partir du 7 janvier


Un film de Eric Darnell, Tom McGrath
USA
2008 1h35 VERSION FRANCAISE
avec les voix de José Garcia, Anthony Kavanagh, Jean-Paul Rouve, Marina Foïs...


Afin de quitter l’île de Madagascar, les quatre new-yorkais mettent au point un plan si cinglé que cela pourrait effectivement fonctionner : les pingouins ont réparé -façon de parler- un vieil avion et, à l’aide d’un moyen de propulsion aussi ancestrale qu’efficace, les voici s’embarquant pour les cieux, direction l’Amérique. Mais la route est longue jusque là-bas et leur coucou de fortune a tôt fait de s’écraser dans l’endroit le plus sauvage qui puisse être, la savane africaine. Rencontrant leurs semblables pour la première fois, les quatre amis en découvrent par là-même leurs origines, leur famille. Mais alors que tout semble parfaitement idyllique, une question s’impose à eux : cela vaut-il vraiment leur place au zoo de Central Park ?

Madagascar 2, en tant que blockbuster de l’animation et numéro deux, s’attache à offrir un spectacle encore plus énorme que son prédécesseur, se calant sur un rythme de folie. Après une introduction qui revient sur les origines du lion Axel, définitivement au centre du film, et un bref résumé des événements du premier film, nous sommes ainsi plongés droit dans l’action au rythme du toujours entraînant I like to move it, retrouvant nos héros qui s’apprêtent à monter dans l’avion de fortune pour rejoindre New-York et qui décollent presque aussitôt. Comme ça, sans plus de préparation.

Et déjà les gags s’enchaînent à une cadence de folie, sans répit, la rapidité de l’action toujours relancée par un montage ultra-dynamique et une réalisation qui se permet quelques plans magnifiques.
Nous sommes comme happés par le film, entraînés par le rythme de ses images, de sa musique, sous le charme euphorisant qui émane de l’alchimie entre les quatre héros et toutes les bestioles hystériques qui les entourent. Vraiment efficace.

Madagascar 2 vous fera passer un excellent moment, joliment divertissant et réellement marrant. Surpassant sur ce point son prédécesseur, et de très loin, cette suite enfonce encore le clou au niveau technique en plongeant ses héros cartoonesques dans des environnements de toute beauté, quasi photo-réalistes.



A partir de 8 ans:

Les enfants de Timpelbach (1h35)
à partir du 17 décembre

Pour son fils Thomas, cloué au lit par une vilaine maladie, le très sérieux Henry Winterfeld va se mettre à inventer mille et un épisodes d'une drôle d'histoire d'enfants turbulents soudainement livrés à eux même. Nous sommes en Allemagne dans les années 30, ainsi naît Les enfants de Timpelbach, premier roman de celui qui reste aujourd'hui encore l'un des auteurs de littérature enfantine les plus lus outre Rhin.Dans le village de Timpelbach, les enfants ne font que des bêtises et résistent à toute forme d'autorité. A bout de nerfs, les parents décident de quitter le village... pour ce qu'ils pensent être une journée. Un village sans parents ! Ce n'est pas une mauvaise nouvelle pour tout le monde. Charlotte la rouquine, Manfred le froussard à lunettes, Gros Paul et tous les autres vont savourer pleinement cette nouvelle situation... Mais bientôt les écorchés, une bande de vilains garnements, ne verront pas les choses du même oeil... Les deux bandes d'enfants s'affrontent alors pour le contrôle des lieux. Avec cette épatante adaptation on plonge dans un monde féerique et coloré, à la fois proche du nôtre et évocateur de contes oniriques. Une aventure à la croisée de l'univers de Tim Burton et de La Guerre des boutons.

 

 

 

 

 


 
 
posté le 27/12/08

Delépine à l'Alhambra / Nord littoral 241208

 


 
 
posté le 22/12/08

CHORON malgré Charlie…

Cabu, Philippe Val et Wolinski déboutés

PARIS (AFP) — Le juge des référés du tribunal de Paris a débouté lundi les dessinateurs Cabu et Wolinski, ainsi que le directeur de publication de Charlie Hebdo, Philippe Val, qui réclamaient l'interdiction de l'affiche du film "Choron dernière", sur laquelle leurs noms sont mentionnés.

Le documentaire réalisé par Pierre Carles et Eric Martin, dont la sortie est prévue sur les écrans le 7 janvier, retrace la vie de Georges Bernier, alias le professeur Choron, cofondateur du journal satirique Hara Kiri, mort le 10 janvier 2005 à l'âge de 75 ans.

Cabu, Wolinski et Philippe Val, qui y apparaissent uniquement dans des images d'archives, estimaient que la mention de leurs noms sur l'affiche laissait penser qu'ils y avaient participé volontairement, ce qui n'était pas le cas.

Les trois hommes ont donc décidé d'assigner pour atteinte à leur nom les sociétés 3B Productions et Tadrart Films, respectivement producteur et distributeur du film.

Dans son ordonnance, la juge des référés Magali Bouvier a estimé qu'il n'y avait "pas lieu à référé". En effet, écrit-elle, les demandeurs n'ont pas réussi à démontrer que la mention de leurs noms sur l'affiche "constituait une atteinte à la vie privée telle que leur diffusion prochaine constituait un péril imminent justifiant" l'interdiction de l'affiche.

Pour la magistrate, il est bien clair que le film de MM. Carles et Martin est un "film documentaire", et que la mention incriminée "ne s'interprète pas d'évidence comme étant autre chose que la liste des personnes dont des interventions figurent dans le film (...) et il s'agit d'une information pertinente".

 

DONC, RENDEZ-VOUS LE 17 JANVIER

AVEC MARTIN, CO-RÉALISATEUR DU FILM

À L'ALHAMBRA 

 


 
 
posté le 21/12/08

Joyeux NOEL

Les Amis de l’Alhambra vous souhaitent un très Joyeux Noel et beaucoup de Plaisir devant les écrans du Cinéma.

 

 

 

 


 

 

 

 


Commentaires

 

1. wilmo  le 21-12-2008 à 21:12:24

Cher Père Noël,
J'ai été bien sage toute l'année, alors comme cadeau je voudrais un patron s'il te plait.
smiley_id117076

 
 
 
posté le 19/12/08

la blagounette du jour

 

 

 Encore un Procès-Charlie-Hebdo® !!!

 

Partagé entre la stupéfaction, l'incrédulité, l'abattement et l'hilarité, on a appris (via le magazine de l'Homme Moderne) que MM. Philippe Val, Cabu(t) et Wolinski :

 

"assignaient 3B productions (co-producteur du film) et Tadrart Films (distributeur) en référé pour demander le retrait de leurs noms des affiches de Choron, dernière, du 8 pages promotionnel, du site internet, etc., alors que la sortie du film en salles est fixée au 7 janvier prochain.

 

Curieusement c'est la même petite bande qui ne trouvait rien à redire en 1998 à l'affiche de Pas vu pas pris sur laquelle figurait également des noms de personnalités publiques à qui personne n'avait demandé d'autorisation. C'est Charlie Hebdo d'ailleurs qui avait fait imprimer le premier lot d'affiches de Pas vu pas pris. (…)


L'audience aura lieu le vendredi 19 décembre, l'avocat des plaignants est l'inénarrable Richard Malka, ci-devant avocat de Clearstream dans ses attaques contre Denis Robert."

 

Alors qu'il eût été quand même beaucoup plus élégant (et plus drôle, et plus efficace) de demander des droits d'auteurs !  La blogosphère se boyaute, 

 en remet une louche…

 

Rencontre avec Martin

co-réalisateur de Choron, dernière

à l'Alhambra le 17 janvier 2009 

 


Commentaires

 

1. wilmo  le 19-12-2008 à 18:58:13

ah bah - en voilà des gens qui n'ont pas d'humour!
on va leur inventer un nouveau proverbe: "ne me fais pas ce que je fais aux autres"!
bon bin, je m'en vas boycotter Charlie Hebdo...

 
 
 
posté le 19/12/08

Louise-Michel : ce n'est qu'un début !

Vous je sais pas, mais vu d'ici, de l'Alhambra,

l'avant-première de LOUISE-MICHEL a été un moment…

comment dire…

 

Magique !

 

Une salle combe, hilare (ne mentez pas j'ai glissé une oreille, je vous ai entendus!!!) et charmée, c'est si agréable. 

 

Et Benoît Delépine, épuisé par son marathon promotionnel, n'en est pas moins ravi de l'accueil qui est fait au film partout où il passe - et même de l'incompréhension qu'il suscite parfois !

 

Voilà.

 

Maintenant, très chers, pour attaquer 2009 sur les chapeaux de roues, reste à transformer le succès d'une soirée en succès tout court et faire de LOUISE-MICHEL le film événement de Noël.

 

Et quoi de plus facile ? 

 

Faites comme moi, répétez inlassablement, avec obstination et enthousiasme, à tout propos et en toute occasion, l'à quel point ce film est

 

délirant,

unique,

rafraîchissant,

généreux,

mordant,

drôle,

pétillant,

gonflé,

surprenant,

vengeur,

décalé,

(que sais-je encore ?)

 

Vous verrez : c'est si bon de s'entendre dire ensuite, entre le fromage et le dessert, des mots doux comme

 

"ah! la vache ! t'avais raison, merci, ça fait du bien, vraiment merci !!!!!"

(enfin, ce genre de choses)

 

… enfin, pour la manière, c'est vous qui voyez.

 

 

 

Et si je ne vous mets pas un billet d'ici-là :

 

Bonnes fêtes à tou(te)s !!!

 

Et n'oubliez pas :

 

"Pour Noël, offrez-vous un patron" !!!

 

S. 

 


 
 
 

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