Cinéma Majestic de Lille
Nouveau cinéma Israélien Jamais le cinéma israélien n’aura été aussi présent sur
la scène artistique internationale. Multipliant les récompenses et les succès,
il s’est imposé depuis une dizaine d’années avec quelques figures emblématiques,
tels Amos Gitaï ou Raphael Nadjari, mais aussi avec une toute nouvelle
génération de cinéastes. Désormais, il ne se focalise plus sur les relations
entre Palestiniens et Israéliens (même si le sujet est au cœur de nombreux
films) mais il raconte aussi des histoires personnelles ou familiales,
témoignages d’une société en pleine mutation. Proposé dans le cadre du 9ème
Festival International du Film d’Arras L’Autre Cinéma (festival off), voici
donc un panorama en 11 films où l’on retrouve quelques-unes des plus belles
réussites du cinéma israélien actuel. |
vendredi 31.10.2008, 14:00 Nord Littoral
Organisée jeudi soir au cinéma l'Alhambra, la soirée spéciale "Jack London" a été une vraie réussite.
Pour beaucoup de personnes présentes, cet écrivain était inconnu de leur culture et ils ont pu apprécier la vie de ce grand personnage. Dès 18h, les curieux ont pu discuter des oeuvres avec Isabelle Tetaert, de l'association "Les amis de Jack London". Elle répondait volontiers aux questions. Manuel Tinocho-Vilchez, responsable de la librairie "La mouette liseuse", a rassemblé les livres de London, parus chez différents éditeurs. «C'était la ruée vers les livres » déclare-t-il.
28 ème édition du festival d'Amiens
Toutes les infos au lien suivant :
http://www.filmfestamiens.org/-Le%20festival-.html
En explorant, de par le monde, les cinématographies fragiles, inédites ou moins diffusées, le Festival international du film d’Amiens s’est imposé comme un événement de référence pour découvrir de nouveaux talents comme pour suivre les auteurs qui ont marqué leur temps. En parallèle de la compétition internationale, les soirées événements autour de Martin Luther King, Aimé Césaire et Youssef Chahine, la carte blanche à Claude Chabrol, l’hommage à Cheik Doukouré et les panoramas « Cinémas d’Afrique » et « Cinémas d’Amérique latine » proposent à tous d’approfondir leurs connaissances. Sans oublier les différentes rencontres professionnelles, telles que la Table ronde sur les droits d’Auteur et les financements des cinémas du Sud ou le nouveau chantier « L’Acteur à l’oeuvre : Actors Studio » qui, en encourageant et en développant des échanges artistiques, prolongeront cette fête incontournable du cinéma international.
La programmation du Festival, présente dans toute la région Picardie grâce à sa diffusion dans un réseau de salles indépendantes et par le CiNéBus, donne la possibilité à un public encore plus large de profiter de la sélection 2008. Ces différents rendez-vous permettront de rappeler que toute initiative, visant à favoriser la circulation des oeuvres, est essentielle dans le combat que nous menons pour faire valoir le droit de chaque pays à protéger et soutenir son secteur culturel tout en s’ouvrant aux autres. Ces événements rejoignent aussi pleinement l’action que mène le CNC pour soutenir les films qui demeurent difficiles à faire exister dans certains pays grâce notamment à sa politique de coopération mise en place avec le Fonds Sud.
Je tiens à remercier sincèrement Jean-Pierre Garcia et toute l’équipe organisatrice du Festival qui contribue à nourrir la vitalité du septième art d’ici et d’ailleurs. Je forme le voeu que cette 28ème édition, qui s’annonce dense et émouvante, connaisse un franc succès. Bonnes projections à tous !
Véronique Cayla
Directrice générale du CNC
À 28 ans, le festival d’Amiens, enfant brillant et irréprochable
de passionnés de cinéma, habite toujours à la maison… de la culture.
Mais on
pourra aussi le suivre à bord d’un CiNéBus ou dans d’autres salles de
Picardie.
S’il faut compter sur Jean Pierre Garcia et son équipe pour une
moisson de films en provenance de ses terres de prédilection (surtout
l’hémisphère sud) ou une rencontre avec quelque icône du cinéma latino américain
qui l’aura ému, la programmation de cette édition est toujours plus foisonnante
: Regards sur l’Afrique, inédits d’Europe, d’Asie et d’Amérique Latine,
excursion aux Etats-Unis avec l’Actors studio, soirées autour de Martin Luther
King, Aimé Césaire et Youssef Chahine, hommage à Cheik Doukouré, anniversaire de
mai 68…
Amiens est vraiment international puisqu’après la Nikkatsu et en
attendant de découvrir la Schochiku (patience !), le cinéma français n’est pas
oublié avec Claude Chabrol dont les influences, sauf erreur, sont plus à
rechercher du côté d’Hollywood que du Japon.
Amiens, c’est aussi le Fonds
d’Aide au Développement du Scénario qui a permis à de nombreux films du Sud non
seulement d’être produits mais aussi d’être primés dans les plus grands
festivals.
Telle est la recette d’un festival qui a su faire cohabiter le
monde, tous les publics y compris les jeunes, qualité, diversité, curiosité,
générosité, et… plaisir.
Cette reconnaissance, qui est avant tout celle du
public, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Picardie l’a
transmise au Centre National de la Cinématographie, au titre des festivals qui
« comptent » en France.
A 28 ans, le festival d’Amiens, enfant brillant a
atteint sa maturité, souhaitons lui longue vie !
Marie-Christine de la Conté
Directeur régional des Affaires culturelles de Picardie
Ministère de la Culture et de la Communication
De nouveaux et pour notre plus grand plaisir, le Festival international du film d’Amiens ouvre par le cinéma les portes du dialogue interculturel auquel l’Université est foncièrement attachée.
C’est pourquoi l’Université de Picardie Jules Verne s’honore d’être partenaire, depuis l’origine, de cette magnifique aventure et se souvient toujours avec émotion que les premiers festivals furent initiés par des étudiants.
Merci au Festival international du film d’Amiens de permettre au public, et tout particulièrement aux étudiants, de découvrir des cinématographies peu connues ou peu diffusées, venues du monde entier.
Merci aux organisateurs de cette médiation interculturelle et de cette ouverture sur de nouveaux horizons qu’est le Festival international du film d’Amiens.
L’Université de Picardie Jules Verne, partenaire de sa démarche, souhaite pleine réussite à sa 28ème édition.
Georges Fauré
Président de l’université de Picardie Jules Verne.
Festival "l'autre Cinéma"
(plan séquence ARRAS)
L'agenda, le blog du festival, les invités, les films en avant première, les cinémas du Monde, les hommages, les ciné-concerts, les expos, le festival des enfants .............
au lien suivant :
http://www.plan-sequence.asso.fr/festival.php
Certains ont pris une semaine de vacances pour ne rien rater. D’autres viendront les week-ends de Paris ou de Bruxelles et ont déjà réservé leurs billets de train. Le festival international du film d’Arras, L’autre cinéma, inventé par l’Association Plan-Séquence, est inscrit sur les agendas d’une année sur l’autre. Très tôt, les spéculations vont bon train. Quelles vedettes fouleront les pavés d’Artois, cette année ? Éric Miot, délégué général et Nadia Paschetto, directrice, s’amusent. Ils savent que certains noms déclencheront l’émeute. John Boorman et Dany Boon sont de ceux-là…
51 391 spectateurs, 2 354 projections, dix jours d’émotion intense à
rencontrer des réalisateurs, des comédiens, et à découvrir des films
remarquables. Voilà pour le festival 2007 .
L’édition 2008 frémit.
Bouillonnement prévu du 7 au 16 novembre. L’effervescence est telle cette année
que le casino d’Arras deviendra pour l’occasion une salle obscure - presque - à
part entière, complétant les belles salles du Cinémovida. «Il est trop
dommage de refuser du public sur les grosses projections !», regrette Éric
Miot. Les spectateurs viennent de plus en plus loin, pas question de les
décevoir.
Pas question de décevoir qui que ce soit, d’ailleurs, car l’année
est décisive. L’État, qui a repris les forces de soutien du CNC, apporte son
aide à 27 festivals. L’Autre cinéma est le seul festival du Nord -
Pas-de-Calais à devenir d’intérêt national. «L’enjeu est grand ! souligne
le délégué général. Nous portons le poids de la région !»
Sur le fil
rouge qui tire le festival depuis sa création (concilier les films d’auteur et
les films grand public), est inscrit chaque année le même schéma: un invité
d’honneur, des avant-premières des films inédits du monde et d’Europe, des
rétrospectives et un gouleyant cycle pour enfants. Pour cette édition 2008, le
réalisateur américain John Boorman le papa d’Excalibur ou de La Forêt
d’émeraude posera le pied à Arras et donnera «Une leçon de cinéma».
Rendez-vous le vendredi 14 novembre de 14 h 30 à 16 h 30 à l’amphi Churchill.
Bien sûr, une rétrospective de son œuvre est proposée avec notamment la
projection en copie neuve de Zardoz et de son tout premier film The
tiger’s tail, inédit en France.
Excalibur a donné le thème de la
rétrospective qui explore, comme tous les ans, le cinéma des années 70-80.
«Héroïc Fantasy, les années 80» proposera aux spectateurs un voyage dans le
monde médiéval avec fées, gnomes et chevaliers hardis. Revoir Conan le
barbare, The dark crystal ou Willow sur grand écran sera un
régal...
Rétrospective encore, celle qui est consacrée à la Grande Guerre.
L’Autre cinéma présente une sélection de films remarquables sur le
conflit, en particulier Charlot soldat (1918), les Quatre cavaliers de
l’apocalypse (1921) en ciné-concert dans une superbe copie restaurée, Les
Sentiers de la gloire (1957), Le Pantalon (1997) d’Yves Boisset, tiré
d’une histoire vraie...
Avant-premières
Cette année encore, le festival propose un panorama
de la production mondiale à travers une quinzaine d’avant-premières nationales
et internationales. «Les œuvres d’auteurs reconnus côtoieront celles de
jeunes réalisateurs au talent prometteur», explique Éric Miot. Ainsi, le
film de clôture du festival, Louise Michel (France) de Benoît Delépine et
Gustav Kerven se disputera la vedette avec le film britannique The
Duchess de Saul Dibb, Pride and Glory de Gavin O’Connor (USA) avec
Edard Norton et Colin Farrell, ou Hunger (Royaume-Uni) de Steve McQueen
(caméra d’or Cannes 2008).
S’agissant de la rubrique Cinéma du monde, un
choix de films inédits et, là aussi, d’avant-premières, devrait bouleverser ceux
qui aiment les sujets qui parlent de la société aujourd’hui. Les œuvres
viendront d’Argentine, de Chine, du Chili, de Russie...
Les Inédits d’Europe
sont une spécialité du festival d’Arras qui, on le sait, a une attirance
certaine pour les films des pays de l’est.. «Ces pays ont beaucoup de choses
à dire, assure Éric Miot, mais leurs films sont peu projetés...» Ils
ne sont en tout cas pas connus en France. Les œuvres viendront de Bulgarie, de
Serbie, de Pologne, de Macédoine, de Croatie... et seront en lice pour un «Coup
de cœur du public» et un «Prix du Syndicat français de la critique de cinéma»,
dont le jury sera présidé par Charles Tesson. Bien sûr, comme pour la plupart
des films présentés durant le festival, les projections seront accompagnées de
leur réalisateur ou de comédiens... Une chance et un grand trésor pour les
spectateurs qui, au fil du temps, ont associé le festival comme une des plus
belles aventures culturelles du Pas-de-Calais.
Rens. 03 21 59 56 30
Marie-Pierre Griffon
L'Echo du Pas-de-Calais n°96 -
Octobre-Novembre 2008
L'Association Transp'ART en
CE et le Cinéma Le Varlin
vous proposent en Avant-Première nationale,
Jeudi
23 octobre 2008 à 20h30 ,
en présence du
réalisateur Jean-Paul JAUD,
pour un quatrième volet du débat
« Alimentation et Mondialisation » :
Comment développer une alimentation « responsable » ?
« Un seul mot d'ordre : ne pas seulement constater les ravages, nous dit Jean-Paul JAUD mais trouver tout de suite les moyens d'agir (comme cette municipalité du Gard qui décide de passer la cantine scolaire en bio) pour que demain, nos enfants ne nous accusent pas... »
ET VOUS TOUTES
ET TOUS !
Ne ratez pas cette occasion de débattre de
l'alimentation...
Pour vous, pour vos enfants et vos
petits-enfants,
pendant qu'il en est encore temps
!
La soirée se terminera par un moment de
convivialité
autour d'une boisson Bio offerte par
Transp'ART en CE.
Tarifs : 3,80 € / 2,30 € (réduit pour les moins de 18 ans, les étudiants et les demandeurs d'emploi).
Réservation conseillée
: par téléphone
au 03 28 21 81 55
ou sur place au Varlin rue Denis Papin à
GRANDE-SYNTHE
http://www.transparence.littoralnord.fr
COMMUNIQUE DE PRESSE du cinéma Le Varlin :
Jeudi 23 octobre à 20h30 : Soirée-débat « Nos Enfants nous
accuseront »
En partenariat avec Transp'ART en CE, Comment développer une
alimentation « responsable » ?
La question apparaît urgente au vu de ce documentaire français
programmé à Grande-Synthe en avant-première nationale. Le réalisateur Jean-Paul
JAUD y dresse un portrait sans concession de la tragédie environnementale qui
nous guette : l'empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole (76000
tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays) et les dégâts
occasionnés sur la santé publique (l’augmentation du nombre de cancers,
notamment chez les enfants...). Afin d’oeuvrer pour un monde meilleur, pourquoi
ne pas commencer tout simplement par le contenu de nos assiettes ? Comment
choisir des aliments préservant notre santé et notre environnement ? Quels sont
les enjeux économiques, sanitaires et écologiques de l’agriculture française,
dans la PAC de l'Europe et au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce ? Quel
rôle peuvent jouer les pouvoirs publics, notamment dans le domaine de la
restauration collective ?
Afin d’engager après la projection un débat porteur d’espoir avec
le public pour qui ces questions susciteront une angoisse légitime à laquelle il
convient de donner des réponses concrètes, le cinéma Le Varlin accueillera le
réalisateur ce jeudi 23 octobre et seront également présents, invités par
l'association Transp'ART en CE : Daniel VUILLON, fondateur de la 1ère AMAP* en
France, le Comité d’Animation de l'AMAP* des Moulins du Littoral Nord, des
amapiens, des agriculteurs et des élus de l'agglomération, afin de faire le
point sur la situation locale et envisager des actions... Un seul mot d'ordre
pour Jean-Paul JAUD : « ne pas seulement constater les ravages, mais trouver
tout de suite les moyens d'agir (comme dans cette municipalité du Gard qui
décide d'introduire de manière intégrale le bio dans la cantine scolaire) pour
que, demain, nos enfants ne nous accusent pas »...
Le tarif d'entrée au cinéma Le Varlin est de 3,80 € (ou 2,30 € pour les moins de 18 ans, étudiants et demandeurs d’emploi) et inclut des rafraîchissements pour un moment de convivialité à l'issue du débat : n’hésitez pas à vous informer sur le site de Transp'ART en CE < http://www.transparence.littoralnord.fr > et réservez votre place au 03 28 21 81 55.
A noter : séance scolaire à 14h30, pour aider la prise de conscience des adultes de demain...
(*) AMAP = Association pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne
et localement : http://www.amapdesmoulins.littoralnord.fr
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