posté le 06/02/11

André PIERDEL

André Pierdel.

 

Son nom ne vous dit peut-être pas grand-chose mais son exposition avait marqué les esprits.

André Pierdel était un accessoiriste très connu dans le monde du cinéma, proche de Jacques Tati.

Il avait apporté de nombreuses pièces au cours de l'exposition dont il était l'invité d'honneur, qui s'est déroulée dans le hall de l'ancien Monoprix, en 2010.

Sa gentillesse et son amour du septième art avaient conquis les visiteurs. André Pierdel est décédé et avec lui partent de nombreux secrets de tournage.

 

un site lui est consacré: cinemagique.fr

n'hésitez pas à commander ses livres à la librairie du Channel ou à la Mouette Liseuse, en passant par la Place des Libraires en cas d'urgence!

 


Commentaires

 

1. Jakline  le 06-02-2011 à 16:47:11

Bonjour,
c'est avec émotion que j'apprends le décès d'André Pierdel.
Nous avions eu la chance qu'il accepte de nous recevoir avec nos élèves à l'occasion de sa venue à Calais, en avril 2010. Dans le cadre d'un projet CLEA cinéma, il avait su partager sa passion avec les enfants qui nous parlent encore de lui aujourd'hui.
J'en suis sûre, où qu'il soit, il met en place des illusions comme il a su le faire à chaque instant de sa vie sur Terre.
C'était un grand Monsieur....
Jacqueline HUEZ
Directrice de l'Ecole la Fontaine à Calais

 
 
 
posté le 05/02/11

Maria Schneider

Inoubliable aux côtés de Marlon Brando dans Le Dernier Tango à Paris, de Bernardo Bertolucci, Maria Schneider s'est éteinte jeudi 3 février à Paris, à l'âge de 58 ans.

 

Née en 1952 d'une mère mannequin d'origine roumaine, dont elle a pris le patronyme, et de l'acteur Daniel Gélin, qui n'a fait que la croiser sans jamais la reconnaître, Maria Schneider a succombé "aux suites d'une longue maladie" selon la formule choisie par la famille.

 

La jeune fille à la voix rauque qu'elle était en 1972 entre les mains de Brando et sous l'œil de Bertolucci s'est retrouvée figée en icône de la révolution sexuelle, et prisonnière pour longtemps du scandale qu'elle avait déclenché, au point d'en faire oublier son passage de garçonne dans Profession Reporter, de Michelangelo Antonioni, avec Jack Nicholson, et ses traversées cinématographiques en compagnie de Jacques Rivette (Merry Go-Round), Luigi Comencini (L'Imposteur), René Clément (La Baby-Sitter), Werner Schroeter, Philippe Garrel, Daniel Duval (La Dérobade), Enki Bilal ou Josiane Balasko, la dernière à l'avoir appelée sur un plateau, pour Cliente, en 2009.

 

Elle se cherche, peint un peu, vient de passer deux ans chez Brigitte Bardot qui l'hébergeait quand elle passe les essais pour Le Tango : c'est en voyant une photo d'elle avec Dominique Sanda que Bertolucci eut l'idée de la confronter à Brando qui sort tout juste du Parrain.

C'est ainsi que Maria fait ses débuts au cinéma, dans le rôle de Jeanne, une jeune fille qui vit une passion torride de quelques jours avec un veuf américain de passage à Paris, dans un appartement, près du Pont de Bir-Hakeim.

"J'étais jeune, innocente, je ne comprenais pas ce que je faisais. Aujourd'hui, je refuserais. Tout ce tapage autour de moi m'a déboussolée", confiait-elle dix ans plus tard.

Elle avouait alors avoir "perdu sept ans de (sa) vie" entre cocaïne, héroïne et dégoût de soi, à repousser des rôles directement inspirés de celui de Jeanne.

Plus tard, l'actrice ayant enfin pris ses distances avec les rigueurs d'une célébrité trop rapide et trop tapageuse, admettait : "Maintenant cette histoire fait partie de ma vie, ce film m'a apporté une reconnaissance internationale et je ne l'oublierai pas".

 

Maria Schneider regrettait surtout l'absence de beaux rôles féminins, passée la quarantaine, observant que "les hommes ont un choix qu'on ne donne pas aux femmes".

Saluant sa mémoire, le ministre de la culture, Frédéric Mitterrand, qui l'avait récemment faite chevalier des Arts et des lettres a prédit qu'elle "restera une image singulièrement forte de la femme d'aujourd'hui, l'un de ces relais vivants et tangibles de la liberté des femmes toujours à reconquérir".

 

Toute sa filmographie sur Wikipedia.

 


 
 
posté le 02/02/11

Half Nelson et Les Mystères de LISBONNE

2 séances spéciales cette semaine:

Half NELSON vendredi

 

Half Nelson

 

 et les Mystères de Lisbonne samedi, avec un goûter mystérieux!

Vous apportez un gâteau mystérieux (fait maison, c'est encore mieux) que nous dégusterons ensemble avec une boisson chaude offerte à l'entracte.

 

lisbonne

 

 

 

 

 


 
 
posté le 01/02/11

John BARRY

Le compositeur britannique de musiques de films, John Barry, cinq fois récompensé aux Oscars et connu pour avoir écrit la bande originale de nombreux James Bond, a succombé à une crise cardiaque à l'âge de 77 ans.

Né en 1933 à York, en Angleterre, John Barry Prendergast, de son vrai nom, est décédé dimanche 30 janvier 2011 à New York.

 

Ce musicien, venu du jazz, avait composé la musique de onze films sur l'agent OO7, dont "Goldfinger" et "On ne vit que deux fois".

Il avait aussi remanié une musique composée par Monty Norman, pour en faire le thème principal de la série mythique, devenu l'un des plus connus au monde.

Il est par ailleurs l'auteur de la bande originale de "Out of Africa", de "Danse avec les Loups" ou de "Midnight cowboy", ainsi que du générique de la célèbre série "Amicalement vôtre" dans les années 70, qui a contribué à sa célébrité.

John Barry, qui a composé et arrangé la musique d'une centaine de films en quelque 40 ans de carrière, avait remporté deux Oscars pour "Vivre libre", un pour "Un lion en hiver", un pour "Out of Africa" et un pour "Danse avec les Loups". Il avait également été nommé pour deux autres, mais jamais pour son travail sur James Bond.

 

"Je pense que James Bond aurait eu beaucoup moins de flegme si John Barry ne lui avait pas tenu la main", a déclaré lundi à la BBC David Arnold, qui a pris la relève comme compositeur de la musique des films à la gloire du plus connu des agents secrets.

"Les musiques qu'il a écrites transcendent les films pour lesquels elles ont été composées et font désormais partie de la culture populaire", a jugé David Arnold, rendant hommage aux "extraordinaires mélodies" de son prédécesseur.

 

Barry était né dans une famille tournée vers le spectacle et avait grandi au contact du grand écran: sa mère jouait du piano et son père dirigeait plusieurs cinémas, où il avait su très rapidement jouer les projectionnistes.

Lui-même pianiste et trompettiste, il s'était produit quelque temps à partir de 1957 à la tête d'une petite formation - "The John Barry Seven" - qu'il avait montée.

 

Marié à quatre reprises, John Barry, qui vivait depuis de nombreuses années aux Etats-Unis, avait notamment épousé en 1965 l'actrice Jane Birkin, avec laquelle il avait eu un enfant, Kate, aujourd'hui photographe.

Gravement malade à la fin des années 80, il n'avait ensuite jamais cessé de travailler jusqu'aux dernières années de sa vie.

Il avait été décoré de l'ordre de l'Empire britannique en 1999.

 

Sa bio et la liste des films dont il a écrit la musique ici sur Wikipedia.

 

 


 
 
posté le 25/01/11

Fenêtres pour courts

28 janvier 2011

tous les détails dans votre gazette préférée!
 


 
 
posté le 17/01/11

golden globes 2011

and the winner is...

 

un film projeté à l'ALHAMBRA, bien sûr!

 

 


 
 
posté le 11/01/11

Liste des films de l'année 2010 pour voter pour le Top 5

Vous voulez voter pour le Top 5, mais vous ne vous souvenez plus de tous les films que vous avez eu le plaisir de voir au cinéma Alhambra ?

Pas de problème !

 

Téléchargez donc les fichiers ci-joints :

http://cjoint.com/?1blsWqArRtK  

et

http://cjoint.com/?1blsYEGooas

 

Vous aurez ainsi sur votre ordinateur la liste de tous les films qui sont passés au cinéma cette année, avec leur affiche et leur synopsis : cela vous rafraîchira à n'en pas douter la mémoire !

 

(si vous préférez n'avoir accès qu'à une simple liste des films, elle est disponible ici :     http://cjoint.com/?1bltbKQGJqP)

 

Bon vote à toutes et à tous !

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Les commentaires sont modérés.
Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :
 
 
 
Rappel article
 
 
C I N É M A - A L H A M B R A - 2, rue Jean Jaurès - 62100 Calais - tél. 03 21 177 333
*