CINE CONCERT A L'ALHAMBRA

N'oubliez pas de Réserver votre soirée

du 27 novembre (à partir de 19h30)

ET VOTRE PLACE AU 03 21 17 73 33 

En Partenariat avec le Centre Culturel Gérard Philipe, dans le cadre du "beautiful swamp blues festival"

 Projection du film

 "Schultze gets  the blues"

concert des  "HARPLSIDERS"

Ecrit et réalisé par Michael Shorr

Allemagne 2003 1h48 VOSTF

avec Horst Krause, Harald Warembrunn, Karl-Fred Müller...

Quelque part au sud de Berlin, s’étend la région de Mansfelder, en Saxe-Anhalt, pays minier hérissé de terrils et d’éoliennes. C’est là que débute l’histoire de Schultze gets the blues. Schultze et deux de ses camarades finissent leur dernier jour de travail à la mine. Demain c’est la retraite pour ces trois hommes qui se connaissent depuis si longtemps. Désormais Schultze partage son temps libre entre les copains, la pêche à la ligne et le club de musiciens amateurs où il est accordéoniste.


Un soir d’insomnie, Schultze allume sa radio et tombe, par le plus grand des hasards, sur une musique qu’il n’a jamais écoutée ni entendue … et pourtant. Voilà que cette musique ne le quitte plus, il y pense, il la décrypte, il la joue. Lui qui ne jurait, comme la plupart de ses concitoyens, que par la Polka, il n’a désormais d’oreilles que pour le Blues, qui plus est le Blues Cajun.


Découvrant soudainement ce nouvel univers des rythmes du sud des Etats-Unis, Schultze sent qu’une nouvelle vie est peut-être possible. Malgré l’animosité et l’incompréhension de son entourage, il est bien décidé à se rendre dans le berceau de sa nouvelle passion. Alors lorsque le président du club de musiciens lui propose d’être le représentant du village à la fête de la bière qui se tiendra bientôt en Louisiane, son rêve est proche de se réaliser…

Doté d’un corps encombrant et d’une toux féroce héritée de ces années passées au fond de la mine, Schultze a l’air tout droit sorti d’un film muet. Sa gestuelle, sa physionomie bonhomme et son sourire aux lèvres pincées en font immédiatement un magnifique personnage de cinéma. Personnage en décalage avec sa communauté, qui décide un jour de se réapproprier sa vie, son existence. Schultze est une utopie qui se met en marche, un sursaut vital qui se fait impérieux alors que la grande échéance se rapproche.

Il se questionne : une fois sa vie passée à la gagner que peut-on faire ? Réaliser nos désirs ou continuer à se conformer à des règles dont on se fout désormais copieusement.

Schultze gets the Blues est un road movie qui, des paysages plats et gris de l’Allemagne minière, nous entraîne sur les rives du Mississipi. L’auteur nous épargne les cartes postales habituelles (du genre « la Louisiane c’est quand même plus coloré que La Saxe-Anhalt »). Ce qui importe, c’est la volonté de Schultze de trouver ce qu’il cherche alors qu’il erre dans ce pays où il a quelques ancêtres et dont pourtant il ne parle pas la langue. Il partage en revanche un lien ténu entre la polka et le blues cajun, né un siècle plus tôt de la rencontre du blues et d’un accordéon débarqué d’Europe.

La musique des HarpSliders est un voyage sur des routes empruntées par Memphis Slim, Jimmy Reed, Fats Domino, Bo Diddley, Charley Patton, mais aussi d’autres bien plus obscurs ! La voix claire et chaleureuse de Manu Slide vous raconte, en anglais comme en français, des histoires éternelles d’amour heureux ou d’amour déçu, de misères ou de joies, de voyage ... Son harmonica bluesy, ses guitares authentiques, son ukulélé électrique, son kazoo, et ... la planche à laver de Papy Washboard, ses percussions rustiques, sa contrebassine « _ maison »... autant d’instruments qui vous entraînent, sur des rythmes très variés, de la Nouvelle Orléans à Chicago en passant par Cassel ou _Bamako. De festivals en estaminets, de mariages en séminaires, dans la rue comme en salle de concert, en milieu scolaire ou hospitalier... ces HarpSliders écument depuis près de dix ans maintenant les scènes de France et de Belgique, emballant, des heures durant, les publics les plus divers : jeunes de 7 à 77 ans, passionnés de blues comme simples amateurs de musique vivante. Alors, venez voyager avec eux sur les routes infinies du Blues.

Aux spectateurs présents à la soirée d’hier,  et à  tous ceux qui se sentent concernés par le soutien au peuple palestinien

S’il vous plait, agissez : alors que le temps passe, les habitants de Gaza meurent à petit feu

L’électricité, la nourriture, les médicaments, les soins de santé ; tout a disparu dans la bande de Gaza. Les 7 passages frontaliers sont totalement fermés, sans aucune lueur d’espoir pour leur réouverture. Israël a encore aggravé ses violations flagrantes des droits de l’homme quand il a bloqué l’entrée dans la bande de Gaza des aides de l’UNRWA.

PCAS, Comité populaire contre le siège de Gaza | 16 novembre 2008

Pour signer l’appel pour la libération de Salah Hamouri

http://www.nord-palestine.org/

Site de la plate-forme des ONG  françaises pour la Palestine

http://www.plateforme-palestine.org/

Site Artisans du Monde

http://www.artisansdumonde.org/

Dans le cadre de leurs "bobines citoyennes " les Amis de l'Alhambra " vous convient ce jeudi 20 novembre à 20h à une soirée consacrée à la Palestine.

Cette soirée est organisée en partenariat avec l'association "Artisans du Monde du Calaisis".

Cette association présentera son travail et notamment sa campagne en faveur de la vente de produits palestiniens. Un stand,  installé dans la hall du cinéma, vous permettra de les découvir.

Le film "Iron Wall" sera projeté et suivi d'un débat animé par Jean François Larosière, Président de l'Association France Palestine Solidarité Nord pas de Calais.

Soyez nombreux à ce rendez vous..

Réalisé par Mohammed Alatar
Documentaire 1h00 VOSTF


Iron Wall est un documentaire inédit réalisé par une association palestinienne d’appui aux agriculteurs. Il donne la parole à des responsables associatifs, paysans, militants pour la paix, journalistes, soldats... israéliens et palestiniens. Le film retrace l’évolution de la colonisation des Territoires occupés palestiniens sous les différents gouvernements israéliens, depuis 1967 jusqu’à la construction du Mur.

Il met en évidence les conséquences de la colonisation sur la vie quotidienne des Palestiniens.

Il montre comment la mise en place d’un dispositif de quelque deux cents colonies, de routes, de zones de sécurité et de check points, parachevé par le Mur a fragmenté les Territoires palestiniens en une dizaine d’enclaves dans lesquelles les Palestiniens sont confinés ; vise à rendre irréversible l’emprise israélienne sur près de 40% de la Cisjordanie et sur Jérusalem Est; et compromet de facto les chances d’instaurer un Etat palestinien viable.

« C’est certainement le meilleur film sur la colonisation israélienne dans les territoires occupés. Iron Wall retrace l’histoire de la colonisation israélienne depuis 1967, montrant notamment son accélération depuis les accords d’Oslo et, plus récemment, à l’ombre du mur.

Pour expliquer des images aussi fortes, souvent violentes, il fallait beaucoup de pédagogie : c’est le rôle du commentaire, retenu, et des interviews d’Israéliens et de Palestiniens - personnalités ou hommes et femmes de la rue » Le Monde Diplomatique.

« La meilleure description du mur, de son tracé et de ses conséquences est montrée dans le film Iron Wall ». Jimmy Carter, Président américain

“Je ne pense pas que les gouvernements, quel que soit le conflit à travers le monde, pourront faire quoi que ce soit. Seule la société civile peut faire quelque chose. C’est pour ça que je suis venu ici, en France, présenter mon film. Quand je l’ai dit à mon fils, qui étudie aux Etats-Unis, il m’a dit ‘personne ne le verra, à quoi bon?’. Je lui ai répondu que si 50 personnes étaient dans la salle pour le voir c’était déjà bien”, explique Mohammed Alatar qui insiste. “Les télévisions françaises ont refusé de diffuser mon film. Bien sûr il l’a été sur les chaînes arabes mais je n’ai pas fait ce film pour les Arabes, je l’ai fait pour vous, pour tout le monde, pour que les gens connaissent la réalité des Territoires occupés”, conclut le réalisateur.

Dans le cadre de la Campagne AlimenTERRE, Cap solidarité, le CRDTM, Artisans du Monde du Boulonnais et ATTAC proposent une projection débat autour du film « Du sucre et des fleurs dans nos moteurs » sur le thème « Manger ou conduire, il faut choisir »

Bibliothèque municipale des Annonciades,  Salle Cassar.

18, Place de la Résistance, Boulogne-sur-Mer

L' Alhambra recevra samedi 15 novembre, à 16 h, et pour une séance unique,  les deux Réalisateurs du film « l’Exil et le Royaume » ; documentaire consacré à la situation des migrants en errance dans le Calaisis.

Andrei Schtakleff et Jonathan Le Fourn présenteront leur film et échangeront avec les spectateurs.

La projection s’inscrit dans le cadre du 6 ème anniversaire de la fermeture du Centre d’accueil de Sangatte.

La séance est gratuite et ouverte à tous, mais doit faire l'objet d'une réservation de votre part.

A partir du samedi 8 novembre, 14h,  le Cinéma Alhambra ouvrira une liste de réservation.

Merci d’appeler le cinéma au 03 21 17 73 33 ou de vous adresser à l’équipe de l’Alhambra.

http://www.humanite.fr/2008-09-10_Cultures_Dans-la-nuit-la-liberte

Loic me charge de vous passer l'information suivante :

La projection du film "l'Exil et le Royaume" d'andreï Schtakleff et Jonathan le Fourn aura lieu le samedi 15 novembre (et non le 15 décembre,  date indiquée par erreur dans la nouvelle gazette)

Cette soirée est mise en oeuvre en partenariat avec le C'SUR, collectif de soutien d'urgence aux réfugiés de Calais et s'inscrit dans le cadre du 6ème anniversaire de la fermeture du centre de Sangatte

Rendez vous à 16h au cinéma. La projection sera suivie d'un débat en présence des deux réalisateurs et des membres du collectif

http://www.lexiletleroyaume.com/index_en.php?rech%5Bpa%5D%5B0%5D=ACTUALITE